Biomarqueurs sériques de la toxicité ovarienne : une approche génomique visant à déterminer si les contaminants alimentaires prioritaires altèrent la santé ovarienne

Période de financement : 2019-2024
Responsable : Anne-Marie Gannon
Investissement global de l'IRDG : 790 000 $

L'exposition aux produits toxiques environnementaux, en particulier aux produits chimiques perturbateurs endocriniens, a un impact négatif sur la fertilité, les signaux endocriniens et la fonction ovarienne. Ces produits chimiques toxiques diffèrent par la manière dont ils induisent l'infertilité, perturbent l'émission des signaux, augmentent l'atrésie folliculaire ou altèrent les voies endocriniennes chez les personnes exposées ou leur progéniture. Quel que soit leur mécanisme d'action, leur impact sur les fonctions ovariennes reste souvent non détecté jusqu'à l'apparition de dommages importants et une altération de la fertilité. Dans le cadre de ce projet, les chercheurs ont pour objectif de développer un nouveau panel sensible de biomarqueurs de microARN sériques pour mieux détecter les phases précoces de toxicité ovarienne sans faire appel aux méthodes invasives traditionnellement mises en œuvre.

L'objectif est de combler les lacunes dans les connaissances permettant la caractérisation des dangers pour la fertilité liés aux toxines naturelles, aux matériaux d'emballage alimentaire, aux additifs et aux contaminants.

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