Période de financement : De 2011 à 2016
Ministères et organismes participants : Agriculture et Agroalimentaire Canada, Agence canadienne d'inspection des aliments, Environnement et Changement climatique Canada, Pêches et Océans Canada, Conseil national de recherches du Canada et Ressources naturelles Canada.
Responsables : André Lévesque et Patrice Bouchard, Agriculture et Agroalimentaire Canada
Financement total de l'IRDG : 7 730 689 $
Le projet sur les espèces envahissantes et justiciables de quarantaine a mobilisé 29 scientifiques et leurs équipes issus de 6 ministères et organismes fédéraux, ainsi que 285 collaborateurs. Il a permis de mettre au point des méthodes plus rapides et plus précises pour détecter, identifier et retracer l'origine des espèces envahissantes et justiciables de quarantaine. Ces espèces sont susceptibles de causer des millions de dollars de pertes économiques et des dommages environnementaux irréversibles. Les protocoles novateurs d'extraction d'ADN et la vaste base de données de référence des codes à barres génétiques du projet permettent d'améliorer les décisions réglementaires et les politiques afin de garantir l'accès aux marchés mondiaux et d'alléger la charge réglementaire pour les producteurs canadiens.
Faits saillants
- Cinq (5) ans de collaboration
- Vingt-neuf (29) scientifiques et leurs équipes
- Six (6) ministères et organismes fédéraux
Principales réalisations
- Vaste base de données de référence des codes à barres génétiques de plus de 90 % des espèces canadiennes ayant un statut de quarantaine
- Protocoles opératoires normalisés pour l'extraction d'ADN, le codage à barres et le séquençage de la prochaine génération, transférés aux utilisateurs finaux
Retombées
- Détection plus rapide, plus précise et plus efficiente des espèces susceptibles d'avoir des effets irréversibles sur l'environnement et l'économie du Canada
- Une meilleure protection contre les perturbations commerciales majeures
Histoires de réussite
- Les progrès en génomique : un monde de possibilités et de défis
- Les cultivateurs de fraises profitent déjà de la base de données sur les aphidiens
- La génomique ajoute de la valeur aux collections patrimoniales
- Du vieil ADN à la base de nouvelles technologies d'identification
- Les espèces envahissantes profitent de tous les moyens de dispersion, y compris les tsunamis
- Accélérer le rythme de l'innovation dans l'industrie fruitière canadienne
- Un code à barres d'ADN qui départage l'utile du nuisible